Ce que les journalistes attendent de leurs contacts RP

Avec l'aide de journalistes, "my news desk" a élaboré, dans le cadre d'une étude récente, quatre recommandations pour vous aider à mieux travailler ensemble.Changez votre point de vueL'une des principales raisons pour lesquelles les journalistes critiquent les contenus de marque est le fait qu'ils sont trop rédigés dans une perspective marketing - on sent qu'ils ont pour but de vendre. Il serait bien plus approprié et intéressant [...].

Avec l'aide de journalistes, "my news desk" a réalisé, dans le cadre d'une étude actuelle Quatre recommandations ont été élaborées pour vous aider à mieux vivre ensemble.Changez votre point de vueL'une des principales raisons pour lesquelles les journalistes critiquent les contenus de marque est le fait qu'ils sont trop souvent rédigés dans une perspective marketing - on voit bien qu'ils sont destinés à la vente. Les histoires qui offrent une réelle valeur ajoutée au lecteur sont bien plus appropriées et intéressantes. Pensez comme un journaliste et gardez à l'esprit ses besoins : quel est le message principal, quelles nouvelles connaissances puis-je transmettre en tant que marque et que le journaliste peut développer en une histoire passionnante ? Vous n'avez pas besoin de réinventer la roue, mais essayez de raconter votre message sous un angle différent. Faites des recherches avant de contacter les journalistesCe que beaucoup de journalistes déplorent : Chaque jour, vous recevez un véritable flot de communiqués de presse et de courriers électroniques, parfois non personnalisés, voire, dans le pire des cas, ne correspondant même pas au domaine de spécialisation du journaliste. Avec le "principe de l'arroseur arrosé", vous n'irez pas loin, même avec une histoire mûre et passionnante. Vous perdez votre crédibilité, ce qui constitue un grave inconvénient en cas de collaboration ultérieure : selon notre étude mondiale, la crédibilité est, dans tous les pays interrogés, le principal facteur sur la base duquel les journalistes décident de donner suite à un story-pitch. Pour la préserver, nous recommandons de faire une solide recherche préalable. Vérifiez qui vous souhaitez contacter, quels sont les sujets dont le journaliste s'occupe et lesquels parviennent à être publiés dans les publications correspondantes.Prenez contact suffisamment tôt (même sans histoire existante !)N'attendez pas de vouloir pitcher une histoire pour prendre contact avec le journaliste, mais renseignez-vous à l'avance sur les habitudes de l'entreprise de presse et sur les préférences du journaliste en ce qui concerne le canal de contact approprié, les délais ainsi que les thèmes qui l'intéressent (voir point 2). Abordez activement les journalistes, présentez-vous. Cela vous ouvrira la voie pour une future collaboration. Les malentendus et les erreurs de communication sont ainsi minimisés, car vous connaissez les besoins du journaliste et inversement. De plus, cette approche contribue à votre crédibilité : Votre première prise de contact consiste en une simple déclaration d'intérêt, et non en une demande. Cela laisse une impression durable. Autre avantage : même s'il s'avère que le journaliste ne correspond pas à votre portefeuille actuel, pour des raisons thématiques ou autres, vous avez fait bonne impression et vous serez peut-être intéressé par lui ou l'un de ses collègues à l'avenir. Les journalistes échangent également sur leurs expériences avec les communicateurs d'entreprise !N'envoyez que des pitchs complets et formulés avec précisionLa plupart du temps, les journalistes écrivent une multitude d'histoires que vous devez soumettre à court terme. Allez donc droit au but, mettez en évidence les informations les plus importantes et complétez toutes les informations importantes dont le journaliste a besoin pour créer une histoire à partir de votre pitch. Ne surchargez pas denc d'informations peu pertinentes. Ce qui est apprécié : La possibilité d'interviewer un leader d'opinion ou un expert, couplée à des citations déjà validées auxquelles le journaliste peut avoir recours immédiatement si le temps est compté. L'exercice libre : du matériel complémentaire comme du contenu vidéo, des photos ou des enregistrements sonores.

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