La publicité double chaque franc de sa valeur ajoutée

Sur mandat de KS/CS Kommunikation Schweiz, BAK Economics a réalisé en 2019 une nouvelle étude sur l'importance de la branche publicitaire pour l'économie nationale. Elle confirme la grande influence de la publicité sur l'économie suisse.

Kommunikation Schweiz

L'étude "L'importance économique de la branche publicitaire en Suisse", réalisée en 2019 par l'institut indépendant de recherche économique suisse BAK Economics sur mandat de KS/CS Kommunikation Schweiz, montre non seulement à quel point la valeur ajoutée de ce secteur économique est élevée, mais aussi quelle est la faible empreinte laissée par la publicité dans l'ensemble de l'économie.

 

Plus de 3 milliards de francs de valeur ajoutée

Le chiffre d'affaires net réalisé par les clients avec la publicité en Suisse - y compris les GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon) - est chiffré à 6,6 milliards de francs pour 2018. En comparaison, cela correspond à environ un pour cent du produit intérieur brut (PIB). Le secteur de la publicité au sens strict - agences et régies publicitaires uniquement - emploie plus de 22 000 personnes, verse des salaires d'une valeur totale de près d'un milliard de francs suisses et génère une valeur ajoutée directe d'environ 1,6 milliard de francs par an. Chaque franc publicitaire génère un franc supplémentaire de valeur ajoutée dans d'autres branches, de sorte que la valeur ajoutée totale s'élève à environ 3,3 milliards de francs.

 

Même importance économique que la ville de Zoug

Des estimations montrent que l'importance de l'ensemble de la communication commerciale - de la publicité aux services de publicité chez les annonceurs, en passant par les relations publiques, le marketing et le sponsoring - est toutefois bien plus élevée. Avec près de 38 000 emplois à temps plein, l'ensemble de l'économie de la communication a à peu près le même poids économique que la ville de Zoug, dont l'économie est très forte.

kscs_bak-studie_2019_de.pdf

Remarque : les résultats ne peuvent pas être directement comparés à l'étude du même nom réalisée en 2013.

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