Prix zurichois du journalisme : Frank A. Meyer, Simone Rau, Mark Dittli et Alex Baur primés
Trois travaux journalistiques exceptionnels et l'ensemble de l'œuvre d'un publiciste connu au-delà des frontières du pays reçoivent le prestigieux prix zurichois du journalisme 2014.
Le jury du Prix zurichois du journalisme a récompensé cette année trois articles qui abordent des questions de politique sociale et économique et les éclairent de manière complète. Simone Rau pour son reportage "Der Mann, der sich zu Tode hungerte" paru dans le Tages-Anzeiger, Mark Dittli pour son analyse des banques "Die verpasste Chance" (Das Magazin) et Alex Baur pour l'interview de "Carlos" publiée dans la Weltwoche, "Ich möchte frei sein", ont reçu le prix zurichois du journalisme 2014. Le journaliste Frank A. Meyer, qui vit à Berlin, a été honoré pour l'ensemble de son œuvre.
Lors de la cérémonie de remise des prix, qui s'est déroulée le mardi 20 mai 2014 au Kaufleuten de Zurich, le jury a honoré la journaliste et ses trois collègues en leur décernant l'une des plus importantes distinctions pour des textes journalistiques en Suisse, en présence de nombreux invités de marque issus du monde de l'économie, des médias et de la politique. Le discours de fête a été prononcé par Rainer Esser, directeur de la maison d'édition à succès Zeit-Verlag à Hambourg. Le duo romand "120 secondes" a proposé une "intervention satirique" de haut niveau. Andrea Masüger, CEO de Somedia et président de la fondation Zürcher Journalistenpreis, a remercié Fredy Gsteiger pour son travail de longue haleine en tant que président du jury. Le rédacteur en chef adjoint de la radio de la SRF transmet désormais cette fonction à Hannes Britschgi, le directeur de l'école de journalisme Ringier.
Le prix zurichois du journalisme a été décerné cette année pour la 34e fois. Chacun des prix décernés est doté de 10'000 francs suisses. Il est considéré comme l'un des prix les plus importants pour la création journalistique en Suisse. Les prix récompensent à chaque fois des travaux et des œuvres complètes remarquables et précurseurs, indépendamment de la forme et du canal par lequel ils sont diffusés.
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