Les jeunes utilisent leur téléphone portable plus de cinq heures par jour

L'agence Xeit a évalué le temps effectif passé devant l'écran par les adolescents et les jeunes adultes suisses afin d'en tirer des enseignements pour le marketing de la génération Z. Les résultats de l'enquête ont été publiés dans la presse spécialisée.

Plus de cinq heures - c'est le temps que les jeunes Suisses passent chaque jour devant leur écran de téléphone portable. Pourtant, peu de choses ont changé au cours des trois dernières années. Les jeunes passent toujours une grande partie de leur temps libre devant un écran - sans compter les appareils tels que l'ordinateur portable, la tablette ou la télévision.

En moyenne, les participants à l'étude consacrent près de 16 heures par semaine aux médias sociaux. L'application la plus utilisée est la méta-application Instagram, qui est utilisée de manière intensive par plus d'un tiers des personnes interrogées. Tiktok arrive en deuxième position, comme en 2021. Le chat constitue une fonction importante des médias sociaux, Snapchat étant ici en tête. En revanche, l'e-mail n'a pratiquement plus d'importance pour la communication chez les jeunes.

Deux heures et demie d'applications de jeu

Les jeunes ont toutefois gagné du terrain en matière de jeux sur smartphone. Selon les chiffres actuels, ils passent deux heures et demie sur les applications de jeux. Contrairement à l'année 2021, c'est environ une heure de plus. D'une manière générale, la génération Z est presque toujours et partout accessible sur les canaux numériques.

Sur la base de captures d'écran de leurs statistiques réelles d'utilisation du téléphone portable des participants âgés de 13 à 23 ans, Xeit a évalué le temps d'écran et l'utilisation réelle du smartphone. Les captures d'écran des activités d'utilisation envoyées régulièrement par les participants à l'étude montrent à chaque fois le temps d'écran et d'utilisation hebdomadaire moyen de différentes applications, et ce sur une période de quatre semaines au total. 356 jeunes ont participé à l'étude, dont 129 femmes, 219 hommes et 8 divers.

 

 

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